Peintures, écrits, objets, dessins, photos en tous genres.
18 février 2012
Jeu idiot
Mes peintures idiotes: Et bien, quoi? Huile sur toile 65X54 2012
Attention! Il faut regarder de très près. Je ne voudrais pas m'être enquiquinée avec des détails pour rien.
Jeu: Et bien quoi?
C'est simple, vous n'avez qu'à répondre à cette question.
8 commentaires:
Anonyme
a dit…
Bon, il y a des personnages dans le corps de chaque lettre sauf le O qui ressemble à une fenêtre où dame Marbrun apparaît. Quant au serpent, il fait un superbe point d'interrogation. J'aime bien aussi le ballon de foot comme point sur le i : voilà qui remplace avantageusement la lune des romantiques dans notre époque barbare. Pour finir, une petite pique : en bonne ortograf on écrit «Eh bien», avec une hache !
Mon "et bien" n'est peut-être pas très orthodoxe (quoique reconnu par le Grévisse)mais je le trouve incitant plus à la réflexion que le "eh bien" nettement injonctif.
La graphie «Et bien» est abandonnée depuis le XVIIe siècle, semble-t-il. En outre, je ne vois pas en quoi «Eh bien!» serait injonctif, dans la mesure où il exprime en général l'admiration, la surprise voire l'indignation. Parfois, il est vrai, on l'emploie pour inciter à l'action, comme démarreur en quelque sorte, mais, de toute façon, ici l'orthographe importe peu puisque, en tant qu'interjection, «Eh bien» appartient au langage parlé! Deuxième pique : Grevisse ne prend pas d'accent aigu !
Et merde! à celui qui m'envoie des commentaires anonymes et que mon ordinateur identifie comme spams. Comme je suis honnête je les accepte quand même mais je trouve pas malin de se réfugier derrière deux barrières.
Voici quelques idioties que m'inspirent ces belles lettrines.
Premier E = une course aquatique entre un humain (qui pour l'occasion s'est palmé la main droite) et une otarie bleue (poète sans doute), qui elle n'a pas besoin de palmes! (Quoiqu'un proverbe dise = en navigation, mieux vaut un bon foc qu'une eau tarie).
Le T qui suit n'est pas à prendre avec des pincettes, ni une hache d'ailleurs, car de loin il fait penser à une amanite phalloïde, à ne pas confondre avec l'annamite, parfois phallo...crate. Mais de plus près, on distingue un drôle d'animal blotti au fond d'un terrier creusé dans un champ de fleur. Aucune inquiétude donc pour des grosses bêtes comme nous (ou comme l'Anonyme anonyme, qui a cessé son travail de donneur de leçons, rejoignant ainsi ceux que la grève hisse...) Ouf !
Pour le I de "bien", j'imaginerais assez un joueur de volley en extension, mais il a dû tricher car je le vois monté sur... un chien ? Que fait donc la SPA ? C'est un scandaaaale !
Le second E pourrait représenter un paresseux, tellement flemmard, celui-là, qu'il n'a pas mis la main à la patte et qu'il en a laissé une chez lui (à moins que ce ne soit la perspective).
Le N est tout le contraire de la Haine, puisqu'on y voit clairement un humain secourant un flamand rose (comme ce fut le cas le mois dernier dans les étangs gelés, notamment à Gruissan). L'histoire ne dit pas si l'humain s'est dégelé...
Pour garder un peu de suspens (et parce que vous devez en avoir marre...), ce soir je resterai coi sur le QUOI. A suivre!
Serait-ce Alzheimer? en relisant mon message je m'aperçois que j'ai "sauté" le B. Réparons donc cet oubli, en précisant que j'ai employé ce verbe au sens propre, sans aucune allusion qui serait déplacée, s'agissant d'une pauvre jeune femme blonde et désorientée. Il n'empêche que son ventre rebondi et sa mine déconfite laissent penser qu'elle pourrait se demander, face aux deux hommes qui lui font des courbettes = "mince alors, mais qui est donc le père ?"
J'ai également constaté, en grossissant l'image (Anne nous avait pourtant prévenus), que le personnage du premier E s'est palmé les pieds et non la main. Autant pour moi, mais ceci ne change pas mon interprétation.
Profitons-en pour tenter une explication du QUOI (pas du quand ni du comment, cette philosophie me dépasse) =
Après avoir jeté un œil au Q (en me gardant bien d'y mettre la main), j'y vois bien 5 rats qui tournent en rond, comme moi, car je sèche... Se seraient-ils réfugiés là pour échapper à ce genre de crocodile qui semble les attendre ? Il n'a pourtant pas l'air bien méchant.
Le U pourrait être celui du Hurlement du chasseur ayant tué une pauvre antilope, accrochée à une barre invisible, et définitivement mal barrée...
Le O serait-il une sorte d'autoportrait symbolique (et pas très ressemblant) d'Anne prise à la lettre, telle un E dans l'O ?
Comme le premier, le second I pourrait représenter un volleyeur, plutôt maladroit car il a laissé échapper le ballon. Peut-être parce qu'on l'a dessiné la tête en bas, dans un sablier ? Ce serait alors une allusion au beach-volley, mais dans cette histoire je ne vois pas où le sable y est... (pardon !)
Enfin le point d'interrogation se passe de commentaire = le serpent tentateur nous oblige à répondre; certains mêmes s'y sont déjà piqués... Avec un tel sujet, point d'interrogation = on fonce !
8 commentaires:
Bon, il y a des personnages dans le corps de chaque lettre sauf le O qui ressemble à une fenêtre où dame Marbrun apparaît. Quant au serpent, il fait un superbe point d'interrogation. J'aime bien aussi le ballon de foot comme point sur le i : voilà qui remplace avantageusement la lune des romantiques dans notre époque barbare.
Pour finir, une petite pique : en bonne ortograf on écrit «Eh bien», avec une hache !
Mon "et bien" n'est peut-être pas très orthodoxe (quoique reconnu par le Grévisse)mais je le trouve incitant plus à la réflexion que le "eh bien" nettement injonctif.
La graphie «Et bien» est abandonnée depuis le XVIIe siècle, semble-t-il. En outre, je ne vois pas en quoi «Eh bien!» serait injonctif, dans la mesure où il exprime en général l'admiration, la surprise voire l'indignation. Parfois, il est vrai, on l'emploie pour inciter à l'action, comme démarreur en quelque sorte, mais, de toute façon, ici l'orthographe importe peu puisque, en tant qu'interjection, «Eh bien» appartient au langage parlé!
Deuxième pique : Grevisse ne prend pas d'accent aigu !
Et merde! à celui qui m'envoie des commentaires anonymes et que mon ordinateur identifie comme spams. Comme je suis honnête je les accepte quand même mais je trouve pas malin de se réfugier derrière deux barrières.
c'est-y idiot comme polémique !
J'aime bien le côté poire à lavement du T. Que ça ne se change pas en poire d'angoisse (=outil de torture)!
Poire à lavement, mon cul!
Merci, Tina, de mettre une bulle d'oxygène sur cet échange stérile.
Voici quelques idioties que m'inspirent ces belles lettrines.
Premier E = une course aquatique entre un humain (qui pour l'occasion s'est palmé la main droite) et une otarie bleue (poète sans doute), qui elle n'a pas besoin de palmes!
(Quoiqu'un proverbe dise = en navigation, mieux vaut un bon foc qu'une eau tarie).
Le T qui suit n'est pas à prendre avec des pincettes, ni une hache d'ailleurs, car de loin il fait penser à une amanite phalloïde, à ne pas confondre avec l'annamite, parfois phallo...crate.
Mais de plus près, on distingue un drôle d'animal blotti au fond d'un terrier creusé dans un champ de fleur. Aucune inquiétude donc pour des grosses bêtes comme nous (ou comme l'Anonyme anonyme, qui a cessé son travail de donneur de leçons, rejoignant ainsi ceux que la grève hisse...) Ouf !
Pour le I de "bien", j'imaginerais assez un joueur de volley en extension, mais il a dû tricher car je le vois monté sur... un chien ? Que fait donc la SPA ? C'est un scandaaaale !
Le second E pourrait représenter un paresseux, tellement flemmard, celui-là, qu'il n'a pas mis la main à la patte et qu'il en a laissé une chez lui (à moins que ce ne soit la perspective).
Le N est tout le contraire de la Haine, puisqu'on y voit clairement un humain secourant un flamand rose (comme ce fut le cas le mois dernier dans les étangs gelés, notamment à Gruissan). L'histoire ne dit pas si l'humain s'est dégelé...
Pour garder un peu de suspens (et parce que vous devez en avoir marre...), ce soir je resterai coi sur le QUOI. A suivre!
Serait-ce Alzheimer? en relisant mon message je m'aperçois que j'ai "sauté" le B.
Réparons donc cet oubli, en précisant que j'ai employé ce verbe au sens propre, sans aucune allusion qui serait déplacée, s'agissant d'une pauvre jeune femme blonde et désorientée.
Il n'empêche que son ventre rebondi et sa mine déconfite laissent penser qu'elle pourrait se demander, face aux deux hommes qui lui font des courbettes = "mince alors, mais qui est donc le père ?"
J'ai également constaté, en grossissant l'image (Anne nous avait pourtant prévenus), que le personnage du premier E s'est palmé les pieds et non la main. Autant pour moi, mais ceci ne change pas mon interprétation.
Profitons-en pour tenter une explication du QUOI (pas du quand ni du comment, cette philosophie me dépasse) =
Après avoir jeté un œil au Q (en me gardant bien d'y mettre la main), j'y vois bien 5 rats qui tournent en rond, comme moi, car je sèche...
Se seraient-ils réfugiés là pour échapper à ce genre de crocodile qui semble les attendre ? Il n'a pourtant pas l'air bien méchant.
Le U pourrait être celui du Hurlement du chasseur ayant tué une pauvre antilope, accrochée à une barre invisible, et définitivement mal barrée...
Le O serait-il une sorte d'autoportrait symbolique (et pas très ressemblant) d'Anne prise à la lettre, telle un E dans l'O ?
Comme le premier, le second I pourrait représenter un volleyeur, plutôt maladroit car il a laissé échapper le ballon. Peut-être parce qu'on l'a dessiné la tête en bas, dans un sablier ? Ce serait alors une allusion au beach-volley, mais dans cette histoire je ne vois pas où le sable y est... (pardon !)
Enfin le point d'interrogation se passe de commentaire = le serpent tentateur nous oblige à répondre; certains mêmes s'y sont déjà piqués...
Avec un tel sujet, point d'interrogation = on fonce !
Enregistrer un commentaire