12 avril 2011

Pierre Peuchmaurd

Il y a deux ans aujourd'hui mourait Pierre Peuchmaurd




                                         
 
Au même moment paraît cette belle anthologie présentée par Laurent Albarracin et dont Pierre se faisait une joie.

                       Vente en librairie ou commandes directes chez l'éditeur: 
                        http:/les.vanneaux.free.fr
                        Éditions des Vanneaux
                        64 rue de la Vallée de Crème
                        60480 Montreuil-sur-Brèche
                            18 euros port compris

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Je n’ai pas eu la chance de rencontrer Pierre Peuchmaurd, mais il se passe rarement un jour sans que je pense à lui. Lui dont les livres composent une bonne partie de ma bibliothèque idéale.
Ce n’était pas seulement un vrai, un immense poète : c’était aussi, aux dires de ceux qui l’ont connu, un homme de cœur, au grand courage, l’intégrité personnifiée. Mes regrets n’en sont que plus amers.
Faut-il déplorer le relatif anonymat que rencontre son œuvre ? Je ne le crois pas, les très bons auteurs se reconnaissant à leur petit nombre de lecteurs. Je suis heureux de compter pour l’un d’eux.

Olivier Hervy a dit…

La première fois que j'ai rencontré Pierre, j'ai trouvé un trèfle à quatre feuilles qui est toujours glissé dans le livre qu'il m'a offert ce jour-là de juillet 2002, A l'usage de Delphine. Assis dans l'herbe nous parlions de Formulaire, qu'il allait publier (ma première publication). Depuis chaque année, fidèlement, ce repas chez Laurent et Mary, avec vin rouge, café noir, cuisine fine et promenade. Parmi mes jours préférés (nous évoquions chaque fois ce trèfle).

Isabelle Dalbe © a dit…

Pour Pierre Peuchmaurd,

Toujours l'intense plaisir de lire Pierre Peuchmaurd, l'une des plus grandes voix poétiques de notre époque, dont les lecteurs comblés ne peuvent que se réjouir de l'un de ses bons mots savoureux, plus indispensable que jamais :
« Je suis toujours partant pour rester. » (*)

Et cette belle anthologie faisant justement rester cet immense poète, encore davantage, parmi nous : « Il faut appeler les choses par leur don. » (*)

Isabelle Dalbe

(* ) Aphorismes de Pierre Peuchmaurd - ' Le Moineau par les cornes ' -